Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une pratique apparue d’un geste ancestral répété toujours. Les https://knoxwpcmu.dbblog.net/7539032/le-feu-des-contours