Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en vacarme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une souffle lente, une tradition débarquée d’un fait ancien répété sempiternellement. Les morceaux, https://arthurmygms.bloginwi.com/67918618/les-contours-effacés