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Les lignes effacés

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Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une aspiration lente, une tradition apparue d’un geste ancestral répété en permanence. https://sergiovkucj.ampedpages.com/les-formes-qui-persistent-61166332

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