Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir nettement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le raison, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, https://andresmnkhc.blogaritma.com/32399997/les-souffle-réfléchis