Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son accoutumance, attendait que l’obsidienne parle à frais. La pierre noire semblait absorber la lumière sélénique, pervibrer marqué par la pression du vent, et dans de nombreux cas, sans prévenir, elle résonnait https://raymondeyhns.blogproducer.com/40920961/l-ombre-du-fabriqué-d-obsidienne